Walter Hill, Matz et Jef Stray Bullets

Walter Hill Matz et Jef Stray Bullets

Langue originale: Français

Titre original: Balles manquantes

Année de publication: 2015 année

Traduction: Gema Moraleda García

Évaluation: entre souhaitable et acceptable

Je suppose, j’espère, j’aime penser que je n’ai pas besoin d’expliquer qui est Walter Hill, mais si seulement pour avoir complété cette revue En réponse à l’hypothétique et improbable personne qui ne le connaît pas (lu sur un ton déçu), je commente : Walter Hill est une légende vivante (maintenant et pour de nombreuses années, maintenant qu’un autre monstre du cinéma de divertissement, Roger Corman, a nous a quitté) du cinéma américain, notamment d’action, le réalisateur de genre de grands titres, par exemple Driver, The Warriors, Southern Comfort, The Long Ryders, Limite de 48 heures, Nice Johnny, Crossroads, etc. et le producteur et/ou scénariste d’autres films encore plus mythiques comme Saga Extraterrestre

Maintenant, qu’est-ce que ce cinéaste de carrière profondément enraciné et acclamé a à voir avec le monde de la bande dessinée, ou, plus précisément, le monde de la bande dessinée. Comique? Eh bien, il s’avère que pendant la promotion du film Une balle dans la tête, qu’il a réalisé mais basé sur un dessin animé du scénariste français Matz (Alexis Nolent), il a demandé à Hill s’il conserverait à son tour un scénario dans le tiroir de son bureau qui pourrait être transféré en vignettes. Le cinéaste a répondu que beaucoup d’entre eux, dont Lost Bullets, qu’il avait écrit il y a 30 ans. Grâce à cette collaboration, Matz a pu travailler avec l’illustrateur Jef (Jean-François Martínez) et après quelques années, le résultat a été la bande dessinée ou roman graphique noir que nous examinons aujourd’hui (ils répéteront plus tard cette expérience ensemble Corps et âme), toute une leçon noir plus classique, même si sans aucun doute – d’après le scénario de Walter Hill, il ne pouvait en être autrement – un peu penché dur.

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Bref résumé de l’histoire : à l’époque de la Prohibition, un type en costume arrive dans une voiture de luxe dans une petite ville de l’Arizona, à la recherche d’un propriétaire de bar pour rembourser une certaine dette… Le seul type en costume est Roy. Nash, un tueur impitoyable qui, jusqu’à récemment, purgeait une peine dans une prison de Chicago, dont il s’est évadé avec l’aide de la mafia, en échange, oui, de la mise en œuvre de la clôture multiple des comptes. eux (.*) Son prochain arrêt est Los Angeles, où Roy tente également de retrouver son vieil amour Lena, la véritable raison de sa fuite et de sa recherche.

Comme tout le monde peut l’imaginer, l’histoire regorge d’hommes durs comme Peredenal, de méchants pires que la gale et de femmes aussi belles qu’un rêve. mouillé… De plus, les lignes élégantes de Jef se démarquent ainsi que la composition panoramique et la mise en scène soignée de ses vignettes, en grande partie grâce à l’utilisation réussie du transfert photo et à la palette de couleurs la plus adaptée, notamment dans la partie qui se déroule en Arizona.

Je ne vais pas vous mentir : ce roman graphique – et je suppose que le scénario original de Hill – est plus une récréation, voire un hommage au film noir le plus classique, qu’une histoire offrant une perspective originale sur le genre, mais tout de même. , je n’ai aucun doute que les fans de noir’i, de polar et de comics en général vont s’éclater. Après tout, il porte le label de qualité d’une légende…

(*) Ce premier épisode présente un arrière-goût du film de Hill de 1996, Le dernier homme o Dernier homme debout (ou peut-être que c’est l’inverse puisque son script Stray Bullets est plus ancien).


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Oliver Langelier

Une peu plus sur moi, passionné par les nouvelles tek et l'actualité. Je tâcherai de retranscrire toutes mes découvertes. Oliver Langelier