Livre du jour : Ludovic Debeurme : une trilogie de l’épiphanie

Langue originale: français

Titre original: Jour de la Trinité

Années de parution : 2017 (n° 1 et 2) et 2019 (n° 3)

Traduction: Jorge Garcia Valcárcel

Évaluation: souhaitable

Épuisés par les excès écologiques créés par l’homme, trois petits événements s’abattent sur la planète Terre, provoquant un tsunami catastrophique. Au fur et à mesure que les eaux se retirent, des centaines ou des milliers de morceaux commencent à émerger du sol dans les jardins, les parcs ou les forêts… mais ce ne sont pas des champignons ou des champignons, mais des nuños poussent dans le sol – comme l’aube. pas peu pour nous comprendre — bien que lorsque les premiers sont prélevés vivants, on vérifie qu’il ne s’agit pas de vrais humains, mais qu’ils ont certaines caractéristiques physiques avec différents animaux : cochon, chien, chien, souches, sabots de chèvre, cornes. .. ce sont des « corps mixtes » -bien que plus tard ils préfèrent le nom « épiphanes » – qui sont internés dans les domaines de la recherche et du contrôle, à l’exception des plus heureux, qui sont adoptés par des familles qui tentent de les intégrer dans la vie normale vie humaine. C’est le cas du petit Koji, qui a été embrassé par le musicien David, mais bien qu’entouré d’amour, à l’adolescence – bien avant ses semblables – a atteint l’adolescence et a affronté la vague de la société en général. la colère grandit en lui, la haine des gens le ramène.

Je n’entrerai pas plus dans le détail de l’intrigue de cette trilogie fantastique de ce Français Ludovic Debeurme – avec l’aide du fan Michaëlis dans les deux premiers volets – ; il suffit de noter qui a vu la série Netflix Maiasmokk Vous avez remarqué certains compagnons… sans parler des comics X-Men de Marvel, à qui Debeurme doit clairement de l’argent. Bien qu’ils aient une matière première et un arrière-plan environnemental beaucoup plus élevés, nous disons « lysergique » ; surtout dans le troisième tome de la trilogie, où il semble que le bon vieux Debeurme le pot est allé complètement il déploie l’imagination et la couleur de tout son univers imaginaire.

Il est vrai que le message des écologistes à travers l’histoire – trois livres, mais surtout le troisième – devient un peu répétitif, même si d’autres sujets importants peuvent être retirés de ces bandes dessinées, comme la peur de quelque chose de différent ou la suspicion des immigrés ou simplement des changements dans notre société. Mais il ne fait aucun doute que les dommages que les gens font à notre planète (la nôtre dans le sens où nous y vivons, pas qu’elle nous appartient), sont causés par le thème de toute l’histoire, et à travers lequel le fantasme de l’auteur fait semblant de réfléchir. Je ne sais pas si c’est la meilleure façon de le faire, mais au moins ces livres offrent un plaisir visuel à ceux qui les lisent. Ils ne représentent peut-être pas l’épiphanie de la planète, mais peut-être esthétiques pour quelqu’un.