Le miroir s’est fissuré d’un côté à l’autre

Langue originale: AnglaisLe miroir sest fissure dun cote a lautre

Titre original: Le miroir s’est fissuré d’un côté à l’autre

Année de publication: en 1956

Traduction: María Dolores Raich de Ullán

Évaluation: recommandé

Comme des millions d’autres personnes (je sais que je ne suis pas spécial), j’ai été une lectrice vorace des romans d’Agatha Christie dans ma jeunesse, et je lui dois certainement une grande partie de ma persévérance. vice un passe-temps qui m’a amené ici à écrire des critiques de ce que j’ai lu avec plus d’enthousiasme que de succès… J’avoue aussi que de tous ses romans j’ai aimé ceux avec Miss Marple en tête (Poirot me paraissait tellement bon). épuisant… même si je pense que c’était l’intention, mais aussi Miss Jane Marple, bien qu’elle soit une vieille femme, m’a semblé un modèle de détective plus moderne et innovant), la gentille petite vieille dame qui a résolu Elle a bu du thé dans son maison à St. À Mary’s Mead… Au fait, quelle petite ville avec un taux de meurtres par habitant qui devait être plus élevé qu’une favela de Rio de Janeiro.

Quoi qu’il en soit, dans ce livre réalisé dans les années 50 du siècle dernier, il y a eu quelques changements concernant l’hydromel de Mary ; Ce n’est plus un petit village typiquement anglais, fermé sur lui-même, car de nouveaux habitants sont arrivés, bouleversant le statu quo social, inquiétant les voisins ordinaires (qu’est-ce que ça me dit ?) : les jeunes mariés venus de la ville. est allé vivre dans le nouveau quartier d’Ensanche, où les enfants ressemblent à des voyous… Quoi qu’il en soit, le 20ème siècle est arrivé dans le monde de la coupe, pour ainsi dire. Comme si cela ne suffisait pas, le manoir Gossington Hall a été acquis par une star hollywoodienne, notamment l’actrice d’origine britannique Marina Gregg et son mari, le producteur américain Jason Rudd. Cet apport glamour (il n’est pas difficile de deviner qu’il s’agit d’une transcription d’Elizabeth Taylor, qui incarnait à son tour le personnage lorsque le roman a été adapté au cinéma) plaît davantage à St. Pour les résidents de Mary’s Mead. , bien sûr, jusqu’à ce qu’il s’avère que l’une d’elles, Mme Badcock, décède lors d’une réception que les nouveaux propriétaires organisent au manoir. Même si, selon toutes les preuves, la cible du tueur n’était pas cette charmante dame, mais Marina Gregg elle-même…

Le mystère est servi. Miss Marple le résout enfin depuis sa petite maison alors que les visiteurs et sa jeune assistante Cherry leur racontent des potins. Grâce à ses capacités déductives et surtout sa connaissance de la nature humaine, il évite les faux indices et les coïncidences incroyables (8ay, Mme Agatha…) jusqu’à ce qu’il trouve la terrible vérité, car il ne peut en être autrement. Je ne dois pas non plus oublier l’aide précieuse d’Alfred Tennyson, dont les vers volent tout au long du roman :

« La toile d’araignée s’est envolée et a nagé

Le miroir se brisa d’un côté à l’autre ;

« Une malédiction s’est abattue sur moi », s’est-il exclamé.

La Dame de Shalott »

(Encore une fois, je ne peux pas mettre une couverture sur les livres de cet auteur chez l’un des excellents éditeurs Molino)

Plus de romans de Doña Agatha examinés : ici

Oliver Langelier

Une peu plus sur moi, passionné par les nouvelles tek et l'actualité. Je tâcherai de retranscrire toutes mes découvertes. Oliver Langelier