Réservez un jour: Ajouter Tuttle: My Death

La langue originale: Anglais

Títu Revenu Original: Ma mort

Année de publication: 2004

Traduction: Regina López Muñoz

Valición: Tout à fait recommandé

Une condition préalable extrêmement simple et seulement 140 pages sont plus que suffisantes pour que Lisa Tuttle nous offre un roman subtil, subtil, psychologiquement complexe et ambigu et avec une touche de péché. La définition n’est pas la mienne mais le narrateur Ma mort S’il parle Une autre femmeLe cinquième roman d’Helen Ralston.

N’est-ce pas un peu de son borgien? Ok je sais que je vois des borges partout mais Ma mort Il a une très balle de Jorgito Roll.

Et que le début nous parle d’un écrivain moyen au milieu d’une crise vitale et créative qui décide, écrivez une sorte de prononciation d’une sorte de prononciation, écrivant la biographie d’Helen Ralston, un peintre, un modèle et un amoureux bien connu.

Ce qui semble initialement être un autre roman maudit sur le bloc de l’écrivain ou la «recherche littéraire» simple grâce à des coïncidences, des miroirs, des parallèles et l’ouverture du mystère dans le roman mystère qui aborde parfois la science-fiction pour se refléter dans le genre et l’identité, le sexe, le sexe, l’art et le rôle à travers l’histoire.

Trois sont des aspects que je soulignerais d’abord dans le roman:

• Développement de la même atmosphère, de presque le thé original (et langue ultrabritien) avec des pâtes de l’autre côté, touchant le rêve, gothique et sombre.
• Gestion symbolique.
• Enquêter sur l’auteur dans la relation narratrice / Helen et comment il se déplace entre l’enthousiasme et l’intimidation, entre l’écrasement et le « méchant ».

Cependant, il y a un roman court et surprenant dont le transit est le plus intéressant pour l’âme plus sombre de Costumberista. Et tout sur 140 pages, écoutez.